Avant de commencer toutes démarches administratives, vous devez avoir une idée claire et précise de ce que vous voulez faire. Dans le domaine de la restauration, du cosmétique ou encore de l’immobilier votre idée doit pouvoir être évaluée et testée avant d’être mise sur pied. Certaines personnes se lance dans cette aventure qu’est l’entrepreneuriat, parce qu’ils en ont eu l’opportunité, ou alors parce qu’ils veulent rapidement atteindre leur indépendance financière. Même si cela part d’une intention honnête les contraintes de la création peuvent vite vous rattraper. C’est pourquoi, tester son idée est important, car cela vous permet d’éviter de faire beaucoup d’erreur.
Afin d’implémenter convenablement son entreprise dans un secteur d’activité donné, une étude de marché est indispensable. Cela permet de connaître sa cible et ses concurrents pour déterminer les actions à mener pour réussir. En effet, vous ne pouvez pas entrer dans un marché comme dans une maison. Pour gagner votre part, votre stratégie de pénétration et votre positionnement doivent être infaillible. De plus, l’étude de marché vous permet d’avoir des informations vous permettant de construire votre image de marque et de déterminer vos prix.
Le business plan est un document professionnel qui contient votre stratégie commerciale ainsi que les différents détails de votre projet de création d’une source de revenu. A partir de là, vous devez être très précis et concis sur l’opportunité d’affaire que vous proposez à vos partenaires et investisseurs. Ce document témoigne de la crédibilité de votre idée et à la capacité de vous faire dépenser très peu pour sa réalisation. Le plan prévisionnel et les tableaux financiers doivent être réaliser par un expert pour qu’il n’y ait aucune faille dans les calculs et ainsi éviter des pertes majeures.
Le statut juridique permet le fonctionnement et même l’existence de votre entreprise dans la société économique de votre pays. C’est la raison pour laquelle vous devez le choisir avec soin selon votre activité ainsi que vos collaborateurs. De plus, le régime fiscal doit également être déterminer et ceci en accord avec votre modèle économique. Selon le statut que vous aurez choisi pour votre firme, vous devez suivre les directives prévues par le code du commerce. En France, il existe plusieurs statuts juridiques pour les petites entreprises et également les grandes firmes. Vous avez donc : le statut de SASU, le statut d’EURL, le statut de SARL et le statut de SAS. Dans la plupart des cas, les professionnels conseils aux nouvelles entreprises de choisir le statu d’auto-entrepreneur, car très peu de formalité y sont rattachées.